Pour rappel, ces spécifications sont reprises ci-dessous.

La variable auxiliaire L d’un espace est assimilée à l’éclairement moyen (exprimé en lux) sur une surface fictive située à une hauteur de 0,80 m.  Elle se calcule en moyennant les éclairements calculés sur l’ensemble de la surface, jusqu’au droit des murs, donc sans éliminer de zone périphérique, contrairement à ce qui est l’habitude pour les calculs de dimensionnement.

Cet éclairement doit être calculé en utilisant la géométrie réelle de l’espace à l’état vide, sans aucun mobilier.Pour le calcul, indépendamment des coefficients de réflexion réels, les valeurs des coefficients de réflexion à utiliser sont :

• 0,70 pour le plafond
• 0,50 pour les murs, y compris les baies d’éclairage naturel et les portes
• 0,20 pour le sol

Indépendamment du facteur de maintenance réel utilisé pour le dimensionnement de l’installation, un facteur de maintenance de 0,85 doit être pris en compte en ce qui concerne le flux lumineux des luminaires (valeur déterminée conformément au TR CIE 84).

Il faut considérer les luminaires dans une position identique à celle de leur installation effective.
Dans le cas de luminaires orientables, il faut, dans les calculs, diriger les luminaires de manière telle que l’angle entre l’axe principal et la verticale orientée vers le bas soit le plus grand possible (donc les orienter au maximum vers le haut).

Si d’autres orientations sont possibles, il faut orienter les luminaires perpendiculairement à la paroi la plus proche.

Les Régions peuvent établir des spécifications supplémentaires ou les modifier.